lolita c'est moi ...
lolita c'est moi ...
lolita c'est moi ...
lolita c'est moi ... et parfois toi, vous, elles.

samedi 13 décembre 2008

Le jour où je me suis réveillée à 4h15

Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime. Je l'aime ma nouvelle salle de bain !
Sinon Christophe Maé me casse les oreilles. Note pour moi-même trouver des kamikazes pour le dézinguer.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Yep! j'en suis! (de kamikaze)
Ou alors: "on l'attache et on l'abandonne" comme dans sa chanson? ;-)

Lolita nie en blog a dit…

Ce mec est fou non tu n'trouves pas ?! je suis sûre qu'il commande son pain en chantant ... moi je le veux mort et surtout pas vif, donc camille Embauchée !!! Ears Alive ! Maé Dead !