lolita c'est moi ...
lolita c'est moi ...
lolita c'est moi ...
lolita c'est moi ... et parfois toi, vous, elles.

jeudi 9 avril 2009

Le jour où j'irais au poste

Tu vois aujourd'hui j'étais partie pour écrire une note toute gaie sur comment j'aime quand mon boulanger me vanne pendant 20 minutes et qu'il en oublie de me donner ma sacrée baguette pas trop cuite mais non au lieu de ça je vais noircir des lignes sur la connerie humaine d'hier soir. Parce que tu vois hier je suis allée voir des super-héros avec la super-héroïne de ma vie. Superbe film, on a ri des nénettes d'à côté de nous qui critiquaient les petits détails du film qui faisaient que c'était un bon film. On s'est baffré de pop corn parce qu'au ciné le maïs c'trop bon et surtout car il faut le noter, s'y prenant toujours comme des pieds de cul-de-jatte pour être à l'heure au cinéma, on était for ze first time depuis des millénaires au dernier rang, nous qui sommes des abonnées du premier rang avec option même pas côte à côte des fois que t'aurais envie de jacter pendant le film bah tu peux pas. Donc autant te dire que la soirée était plus qu'agréable et que jusqu'à présent j'affectionnais ce cinéma en sous-sol des Halles tout chouquinou que toute les deux minutes tu sens le RER qui te passes sous les fesses et que ça te fait des zigouigouis dans ta culotte. Watchmen enfin, juste du plaisir, des ref' parfaites, des petites longueurs qui faisaient le charme du comics qu'on retourne dans le film et que ça fait zizir à l'intérieur de toi car tu te revois le lire. Là on a fini le film et on sort tranquillement remonter Réaumur-Sébastoto pour le plaisir de marcher et de deviser entre gentes damoiselles sur quel siouper power on aimerait avoir et tout et là, ce fut la merde.
A la remontée de l'escalator, qui ne fonctionnait plus alors, je sens une main remonter mon cul brusquement et me retournant je te laisse passer toi. Ouais parce que je suis si naïve que j'ai pensé que tu avais loupé la rampe et que bah t'avais rencontré mon cul à la place. Tu passes donc devant moi et tu montes et moi aussi je fais pareil parce que sinon je serais restée là jusqu'à ce qu'il rallume le bousin. A la fin de cet escalier t'as ralenti tes pas et moi comme j'en avais raz la ponponnette j'ai accéléré et bref on était pas loin hein c'est vrai mais la distance de sécurité était bonne et tout. Mais toi, t'as cru bon de passer ta main autour de mon cou et de me le serrer un peu en me disant que j'étais trop charmante et que tu finirais bien la soirée avec moi et que j'avais presque pas trop l'choix et que même avec un mot du médecin bah non j'y passerais quand même. En fait là tu vois je rigole un peu hein, j'fais ma maligne, mais ça c'est après coup tu vois. Parce que je t'ai repassé devant et que j'ai tenté de me dépêtrer de ton étau et bien t'as cru de bon ton de refoutre ta main sur mon cul en essayant de vérifier si j'avais bien une raie au milieu et pas un cul de barbie en un seul bloc. J'ai tracé et tu m'as tétanisé. Et même t'as niqué en partie ma soirée à défaut de me niquer tout court.
Maintenant toi, Grosse Merde, je vais t'expliquer rapidement pourquoi à chaque fois que tu fais ça tu penses que t'as le dessus et que ça te fait rire de faire flipper le nénettes de mon genre. Tu vois chez moi c'est pas comme chez jean-Pierre Foucault, y'a pas quatre choix, pas d'a,b,c ou d. Y'a que deux choix. Primo je fais ce que j'ai fait et j'ai encore moins confiance en la nature humaine. Deuzio je te choppe le bras et je le tourne jusqu'à ce que j'entende un crac assez violent pour que ça me satisfasse, et je te choppe aussi tes putains de couilles qui visiblement servent tellement peu qu'elles t'ont fait un peu péter les plombs et que mettrais en application ton test de mes fesses en les écartant assez pour que t'en pleure ta mère. Au pire, si j'suis en petite forme, genre comme en ce moment que je suis pleine de miasmes couleur vert sapin, je te pousse juste dans cet escalator et je te regarde tomber jusqu'en bas. Ah oui tu vois y'a pas de tercio car je ne me connais pas d'autres alternatives. Et aussi con qu'un bâtard de ton espèce puisse être j'espère que tu réalises bien la chance que tu as que je choisisse l'option 1 soit avoir à demander l'avis du public. Saches, raclure de bidet, que je n'ai pas peur de toi, j'ai assez de rage pour te tuer, pas que je décide de me la péter sur ce blog ni que je sois championne de karaté mais juste c'est comme ça, je le sais. Oui je t'assure je n'ai pas peur de toi, je te conchie juste de prendre un malin plaisir à me faire vivre frayeurs et cadavres que je considère comme classés. Tu n'es rien, tu as failli exister mais tu n'es qu'une erreur et je tiens vraiment à ce que tu restes à la place qui te reviens : le rien.
Sinon car ouais j'ai pas envie de foutre en tag que des noms d'oiseau, mon proprio l'est trop un coquinou car il a changé le code d'entrée cet aprèm et a mis le nouveau dans nos boites aux lettres à l'intérieur de l'immeuble. Rhoooo la blague, j'ai trop ri. J'ai même cru que j'étais saoule … mais non. Heureusement que j'ai des gentilles voisines ;)

7 commentaires:

nATh a dit…

Chapeau pour le self-control, je suis pas adepte de la violence... mais dans un cas comme ça, je crois que je pourrais faire une exception !

Lolita nie en blog a dit…

Je fais tout pour que l'exception n'arrive jamais ... pas envie de finir en zonz' pour ce genre de pesonne ... non vraiment je crois que ça me ferait même pas rire ...

idem a dit…

wai, hélas ce genre de porc. ça laisse un sale dégoût et une rancoeur amère *sigh*

Anonyme a dit…

M'enfin avant d'en arriver au génocide de la gente des porcs ya ptet le moyen de leur faire savoir courtoisement que c'est le self service du cul chez nous non? au lieu de courir sans dire rien à personne et de flipper sa race qu'on soit suivie !?! j'dis ça jdis rien...

Anonyme a dit…

Correction : c'est PAS le self service du cul... sorry!!

bah a dit…

ceux qui croient qu'on a "une cible sur le cul", le mot courtoisement après, ça me gène un peu. moi j'ai couru après ce mec en hurlant dès que j'ai été "libérée", il a tracé en dehors du métro et personne ne l'a arrêté. end of the story. comme c'est pas considéré comme grave parce que c'est PAS un vrai viol (sa langue dans ma bouche ses mains sous ma jupe) mais chaque fois que j'y repense ça me re dégoûte grave

Lolita nie en blog a dit…

Wow la Shecterienne > heureusement que j'ai toujours des chewing' sur moi ...

Anonyme > ouais certainement ... après quelques années chez un psy ... Ahhhh oui bah oui je sais on a rien sans rien ma brave dame ...

Anonyme bis > Nop même sur mon blog je sais me tenir c'est dire ;) Oui, oui je suis guillerette j'ai fait du shopping ça détend ...
Bah (bybel ? )> le connard ... et la scène classique "si rien ne bouge ... le ciel devient lourd ..." Y'a pas de bonnes ou mauvaises solutions décidément ...